Pokémon: Detective Pikachu
Rob Letterman, Japon, USA, 2019o
L’histoire commence avec la disparition mystérieuse de Harry Goodman, un détective privé. Une séparation qui pousse alors son fils Tim, 21 ans, à tenter de découvrir ce qui s’est passé. Le détective Pikachu, ancien partenaire de Harry, participe alors à l’enquête : un super-détective adorable à la sagacité hilarante, qui en laisse plus d’un perplexe, dont lui-même. Constatant qu’ils sont particulièrement bien assortis, Tim et Pikachu unissent leurs forces dans une aventure palpitante pour résoudre cet insondable mystère. À la recherche d’indices dans les rues peuplées de néons de la ville de Ryme – métropole moderne et tentaculaire où humains et Pokémon vivent côte à côte dans un monde en live-action très réaliste –, ils rencontrent plusieurs personnages Pokémon et découvrent alors un complot choquant qui pourrait bien détruire cette coexistence pacifique et menacer l’ensemble de leur univers.
Les bestioles les plus bariolées de l’univers débarquent en salle dans une comédie noire assez maline qui finit par séduire par son mélange des genres.
Pierre Lunn
Zum ersten Mal sind Pokémon keine Zeichentrickfiguren, sondern hüpfen als reale Wesen durch einen Film. Dabei findet der Teenager Tim einen niedlichen, sprechenden Pikachu mit Detektiv-Ambitionen als Freund. Das ist der charmante Teil. Allerdings hätte Rob Letterman seinen Versuch, die bisherigen Pokémon-Animes aufzupeppen, auch auf die Story ausdehnen sollen. Die liefert, bei allen optischen Tricks, bloß sehr hölzern konstruierte Weltrettung.
Doris Kuhn
Vorlage war das Computerspiel Detective Pikachu (2016), ein Ableger der Pokémon-Reihe. Die Tierchen und ihre Welt sind wunderbar skurril. Allerdings ist der Film derart formelhaft und vorhersehbar, dass es zwischendurch doch etwas langweilig wird.
Gregor SchenkerGalerie photoso
