Un nemico che ti vuole bene
Denis Rabaglia, Suisse, Italie, 2018o
Sur la route pendant une nuit pluvieuse, le professeur Enzo Stefanelli sauve la vie d’un jeune homme. Pour le remercier, ce dernier, se révélant être un tueur de la mafia, lui promet d’éliminer son plus grand ennemi. Au déplaisir d’Enzo, le tueur se met à la recherche d’un rival potentiel, s’introduit dans l’intimité de sa famille et met la vie du professeur sens dessus dessous. Pourtant Enzo reste convaincu de ne pas avoir d’ennemi – jusqu’à ce qu’il commence à voir sa famille, ses amis, ses collègues d’un autre œil.
Die Ausgangslage ist klar, aber die Durchführung so verwirrend und undurchsichtig wie die Struktur der Mafia. Soll das lustig sein? Spannend? Tragisch? Der Schweizer Regisseur Denis Rabaglia («Azzurro») richtet ein ziemliches Chaos an. Nur eines ist klar: Völlig überflüssig -- und nur der Schweizer Koproduktion geschuldet -- ist ein winterlicher Ausflug der Protogonisten ins verschneite Gstaad.
Matthias LerfGalerie photoso
