Life Itself
Dan Fogelman, USA, 2018o
Amoureux depuis l’université, Will et Abby, deux jeunes New-yorkais, se marient. Alors qu’ils s’apprêtent à devenir parents, leur trajectoire se mêle à d’autres destins. Ceux de Dylan, jeune femme perturbée qui tente d’apaiser sa souffrance, d’Irwin, qui élève sa petite-fille dans un monde dangereux, de M. Saccione, riche propriétaire terrien espagnol, et de son intendant Javier, entouré de sa femme Isabelle et de leur fils Rodrigo. De New York à l’Espagne, SEULE LA VIE… croise les parcours d’êtres humains de générations différentes qui n’étaient pas appelés à se rencontrer.
On a le sentiment d’une série dont on nous aurait changé le showrunner, le réalisateur, le monteur et le compositeur en plein milieu. Et les deux heures passées devant ce Seule la vie finissent par se révéler interminables.
Thierry ChèzeDan Fogelman («This Is Us») spielt mit dem Erzählmittel des unzuverlässigen Erzählers, dies mit der Subtilität einer Dampfwalze. Ähnlich plakativ sind seine Versuche, das Publikum mit den Schicksalen der Figuren zu rühren. Dafür entschädigen weder die Darstellerriege (neben Isaac und Wilde Samuel L. Jackson, Antonio Banderas, Annette Bening etc.) noch die Bob-Dylan-Songs im Soundtrack.
Gregor Schenker