Ocean's Eleven
Steven Soderbergh, USA, 2001o
Après deux ans passés dans la prison du New Jersey, Danny Ocean retrouve la liberté et s'apprête à monter un coup qui semble impossible à réaliser : cambrioler dans le même temps les casinos Bellagio, Mirage et MGM Grand, avec une jolie somme de 150 millions de dollars à la clé. Il souhaite également récupérer Tess, sa bien-aimée que lui a volée Terry Benedict, le propriétaire de ces trois somptueux établissements de jeux de Las Vegas. Pour ce faire, Danny et son ami Rusty Ryan composent une équipe de dix malfrats maîtres dans leur spécialité. Parmi eux figurent Linus Caldwell, le pickpocket le plus agile qui soit ; Roscoe Means, un expert en explosifs ; Ruben Tishkoff, qui connaît les systèmes de sécurité des casinos sur le bout des doigts ; les frères Virgil et Turk Malloy, capables de revêtir plusieurs identités ; ou encore Yen, véritable contorsionniste et acrobate.
Serious pianists sometimes pound out a little honky-tonk, just for fun. That's like what Steven Soderbergh is doing in Ocean's Eleven. This is a standard genre picture, a remake of the 1960 Frank Sinatra caper, and Soderbergh, who usually aims higher, does it as a sort of lark. It's slick, all right: directors this good don't usually handle material this routine. It has yearnings above its natural level, as if hoping to redeem itself and metamorphose into a really good movie.
Roger EbertTrotz der recht konstruierten Geschichte mit nur wenigen Stolpersteinen für die Protagonisten bleibt der Spass selbst für hart gesottene Cineasten und Kunstkino-Freaks nicht auf der Strecke. Dafür sorgt zum einen ein flotter Schnitt, zum anderen ein fabelhafter Soundtrack und natürlich nicht zuletzt die aberwitzige Idee einen Casino-Tresor zu knacken.
Cineclub