Mary, Queen of Scots
Thomas Imbach, Suisse, 2013o
La reine d’Écosse Marie Stuart passe sa jeunesse en France. Elle est promise à la couronne de France, mais peu après son mariage, la maladie emporte son mari. La jeune veuve rentre seule dans une Écosse dévastée par la guerre. Au même moment, Elisabeth est sacrée reine d’Angleterre. Pour Marie, elle est comme une soeur jumelle à qui elle peut se confier librement. Après s’être remariée, Marie donne naissance à un héritier du trône. Mais son nouveau mari, Lord Darnley, s’avère être un faible. Lorsque Marie rencontre l’amour de sa vie, le comte de Bothwell, elle fait assassiner Darnley et épouse Bothwell. Horrifiés par ce geste et par la passion aveugle qui l’a motivé, l’aristocratie et le peuple d’Écosse se retournent contre elle. Pour éviter une bataille sanglante, Marie doit renoncer à son Bothwell bien-aimé. Désespérée, elle demande l’aide d’Elisabeth, mais celle-ci la fait jeter en prison. Après dix-neuf années passées dans une cage dorée, Elisabeth lui apporte la « délivrance » par le biais de l’échafaud.
Quellentreu und doch frei setzt Thomas Imbach das Drama der Maria Stuart (1542–1587) in Szene. Gedreht wurde bei Naturlicht oder Kerzenschein im Schloss Chillon, im Kloster Romainmôtier, in Frankreich und Schottland. Die Inszenierung ist von ökonomischer Schönheit, fast karg auch in der königlichen Pracht. Das dient dieser Geschichte einer leidenschaftlichen Frau (Camille Rutherford), die nie etwas anderes war als Königin – bis man ihr den Kopf abschlug, weil die Krone ihr nur so genommen werden konnte.
Christoph SchneiderGalerie photoso








