Indiana Jones and the Dial of Destiny
James Mangold, USA, 2023o
En 1969, l'archéologue et aventurier américan Indiana Jones est opposé à la course à l'espace en raison du fait que les États-Unis ont recruté d'anciens nazis pour battre l'Union Soviétique dans cette compétition. Sa filleule Helena l'accompagne dans ce combat. Pendant ce temps, Jürgen Voller, un employé de la NASA et ex-nazi impliqué dans le programme lunaire cherche à rendre le monde meilleur à son idée.
Indy est de retour ! Pour la première fois non dirigé par Spielberg, un Harrison Ford à nouveau jeune – les 20 premières minutes du film ont bénéficié d'une assistance par ordinateur – puis honnêtement vieilli, se lance dans une chasse aux antiquités aventureuse. Rempli de scènes d'action et de poursuite endiablées, de dialogues humoristiques, notamment dans les situations critiques, et des habituels prétextes à passer à l'action, ce morceau de cinéma nostalgique adoucit le cœur de l'été. Parmi les méchants – oui, les inévitables nazis reviennent aussi – un Mads Mikkelsen bien entouré, et en compagnie du héros, une fois de plus, un enfant et une jeune femme. Bref, on pourrait reprocher à Hollywood d'avoir une fois de plus peu de nouveautés à proposer. D'un autre côté, les remèdes de grand-mère sont eux aussi très anciens et n'en sont pas moins efficaces.
Till BrockmannGalerie photoso





