Pietà
Kim Ki-duk, Corée Du Sud, 2012o
Abandonné à sa naissance, Kang-do est un homme seul qui n’a ni famille, ni ami. Recouvreur de dettes sans pitié et sans compassion, il menace ou mutile les personnes endettées dans un quartier destiné à être rasé. Un jour, Kang-do reçoit la visite d’une femme qu’il ne connaît pas et qui lui dit être sa mère. Pour la première fois de sa vie, le doute s’installe en lui.
Ein brutaler Schuldeneintreiber im alten Viertel von Seoul, er quält die letzten kleinen Handwerker - Kapitalismus, der die Körper seiner Arbeiter zerstückelt. Dann kommt seine lang verlorene Mutter dazu - eine Liebe, so kalt wie der Tod. In seinem starken Passionsfilm (Goldener Löwe von Venedig) entfaltet Kim Ki-Duk eine grausame Liturgie der Rache.
Fritz GöttlerGalerie photoso








